Élizabeth Von Brahmberg | Cuty Girl

Nom : Von Brahmberg

Prénom : Élizabeth Andrew

Age : Élizabeth pointa le bout de son nez, parfait, bien évidament, le 25 mai, 1987, ce qui fait qu'elle a 19 ans, s'en allant prochainement sur ses 20. Un des facteurs qui fait que Kate et elle-même soient si proches, c'est la proximité de leur date de fête. Elles sont effectivement nées à une seule journée d'intervale, rendant Kate 24 heures plus vieille qu'Élizabeth. Elles aimaient bien, plus jeunes, raconter qu'elles étaient des jumelles, mais que Lili, en sa qualité d'être la personne la moins ponctuelle sur terre, était tout simplement arrivée en retard, donc Kate l'avait tout simplement devancer.

Surnom : Élizabeth n'accepte aucun surnom, surtout Éli'. C'est sans aucun doute le plus courant, et c'est l'une des premières raisons pour laquelle Miss Von Brahmberg le déteste plus que tout. Ce n'est pas à cause de la sonorité de ce diminutif qui soit affreuse, en effait, Éli' c'est plutôt mignon ^^, mais Élizabeth ne peut supporter d'être comme tout le monde, de ressembler à tout le monde. En revanche, elle a beaucoup d'autres surnoms, dont la plupart vienne de Kate, sa meilleure amie. Élizabeth se fait notamment surnommée Lili, utiliser la plus part du temps par les membres de sa famille. On compte aussi d'affectueux surnoms comme Pétasse, Darlin', Trésor et Choupinette, évidemment, tous importer par Kate. Dans se répertoir de prénom tout aussi "farfelut" et innusité, se retrouve Honey Bunch, en référance à sa chevelure d'une couleur chocolat ayant des tendance de miel. Cependant, seulement sa meilleure amie à le droit de la surnommé ainsi. Peu importe qui vous êtes, ou à combien de millions s'élève votre fortune hebdomadaire, pour tous les autres, c'est Élizabeth. Ne tentez même pas de Chérie, Mon Ange, Ma Puce, ou de Ma Belle pour la gente masculine. Il n'y a rien de pire pour la mettre dans ses gonts... Et cela, fera plus d'une intesselles dans votre relation...

Qualités : Cela dit, il y a une chose que l’on ne peut lui ôter. Son intelligence et sa lucidité peu fréquentes chez les personnes qui viennent de l’Upper East Side. Mais, est-ce le même cas à New-York, dans le centre ville. En fait, c’est même une perle rare. Parfaitement consciente de ses privilèges, de son statut social et de l’opinion du bourgeois moyen. Parfaitement au courant des effets dévastateurs de la vodka pamplemousse sur les neurones et parfaitement au courant du ralentissement du bulbe provoqué par la drogue. Si ce dégoût profond pour l’existence qu’elle mène n’est pas perceptible, c’est parce que Élizabeth sait pertinemment que c’est précisément grâce à ça que la vie est simple, noyé dans l’insouciance. Cappuccino à gogo, armoires bourrées de fringues qu’elle ne portera jamais, appartement spacieux avec vue sur Madison avenue, danse, hurle et consomme !

Cette volonté de changement refoulée au plus profond d’elle-même, n’est pas encore prête à éclater au grand jour. Elle attend donc son heure.

Défauts : Stéréotypée, colérique, superficielle, défoncée sept jours sur sept, fière et hautaine, Gucci Prada de la tête aux pieds, Élizabeth n’a, à première vue, rien d’exceptionnel. L’alcool, la coke, les boutiques et les boîtes de nuit, c’est les seules choses qui l’intéressent. Une étroitesse d’esprit caractéristique de ces gens là se fait souvent sentir. Odieuse, hypocrite, profiteuse, les adjectifs la qualifiant pourraient se suivre encore longtemps, et tous convergeraient vers un seul point : c’est une pétasse. Se payer du bon temps en société semble être son unique raison de vivre.

Vous savez, Élizabeth doit être la jeune femme la plus étrange de toute une génération consécutive de pétasse en tout genre. Dès que vous croisez son regard, votre premier réflexe sera, sans aucun doute, de resté pétrifier, non pas qu'Élizabeth est en sa possession une beauté rarissiment qui ferrait surment rougir Adam et Ève en personne, mais l'expression qu'elle dévoile sous ses yeux d'azur est percutante. La tragédie, oui, la tragédie. Mademoiselle Van Brahmberg possède un coté assez tragique en elle, pour tout dire. Un coté plein d'émotion mais aussi ayant beaucoup de vécu. Une certaine sensation qui vous glace le sang une fois ses iris jetez sur vous. Ce côté-là se retrouve surtout dans son caractère. Quant elle ne connait pas quelqu'un, elle sait se faire respecter en une seule phrase. Une seule et unique phrase. Élizabeth est unique en son genre, son caractère lunatique la rend très difficile à vivre pour ses proches. Effectivement, vous ne pourrez jamais deviner ce que pourrait dire Élizabeth, si vous lui posez une question un jour, vous lui reposez demain et vous verrez que les deux réponsses ne serons JAMAIS les même.

Histoire : Stéréotypée. Voilà le seul adjectif qui collerait parfaitement à Élizabeth Andrew Van Brahmberg. Et les gens stéréotypés n’ont pas d’histoire. Ou plutôt, leur histoire est tellement banale et habituel qu’elle ne vaut pas la peine d’être contée. Vous voyez cette gosse, là-bas ? Griffée de la tête aux pieds, son Motorola L6 Motoslim coincé entre l’oreille et l’épaule, lunette Mouche sur son nez aquilin, une clope au bec, elle déambule sur la rue Madison sur ses dix centimètres de talons aiguille en gueulant dans son portable. Le vent faisant virevolter ses mèches d’ébène, mais sa coiffure est tellement parfaite qu’elle ne peut être décoiffée. Rien ne peut l’emporter sur le super brushing gélifié à pouch pouch dans lequel elle a claqué mille et une piasse ce matin même. Pas même le vent. Surtout pas le vent, voyons c’est risible, un adversaire de taille pour affronter la jeune Élizabeth, je vous prie!

Bref, mettez là dans une pauvre rue d’un arrondissement périphérique de
Paris, Québec, d’Italie, elle aurait l’air d’une star. Les gens la fixeraient, les gens l’admireraient, les gens l’envieraient, les gens la détesteraient… Mais à New York, tout le monde s’en fout. Parce que dans l’Upper East Side, tout le monde baigne dans le fric, le chic, l’alcool et la drogue. Le dernier jean cigarette Dior n’impressionne plus personne, parce que tout le monde se l’est déjà procuré dans les magasins. Des centaines de Jeans cigarette Dior sont enfermés dans des placards sans jamais en sortir. Ca, c’est leur quotidien. Plus trivial, tu meurs.

Papa maman voulaient qu’elle aille à Harvard. Papa maman avaient fait de la lèche au directeur pendant plus de trois mois avant de se résigner devant le refus catégorique de leur fille. Papa maman s’étaient ensuite tournés vers Princeton. Même réaction. Elle n’avait pas l’ambition de remplacer Al Gore que ce soit dans un avenir proche ou lointain, elle n’avait pas envie de s’enfermer dans une de ces universités à la con où on vous lessivait le cerveau de fond en comble avec la prétendue grandeur et supériorité du pays qu’il est nécessaire de préserver. Tout ça, c’est pour ceux qui ont un objectif à atteindre dans la vie. Élizabeth, elle avait déjà tout. Et ce depuis le moment où elle a vu le jour pour la première fois. Papa maman n’avaient qu’à pas « réussir » leur vie, sa vie.

Lui, Charles Enzo Van Brahmberg, ambassadeur américain à Paris, riche jusqu’aux racines, héritier des Domini de la Rome antique, des Suzerains du Moyen Age, de la noblesse d’épée de la Renaissance, des grands industriels du XIXe, fils d’un père ayant des liaison avec Rome, un fils qui a déjà tout vu et tout toucher, un fils à papa comme tant d’autres. Elle, Georgie Rose Blackheart Collins, ex mannequin, ayant des origines chinoises, jadis juchée sur quinze centimètres de talons aiguilles, un corps à faire regretter plusieurs mariage précipiter et à faire frémir de jalousie bon nombre de poupées sophistiquées, que les créateurs s’arrachaient jour et nuit. Rencontrés lors d’un défilé Gucci, par un pur hasard. Deux trois bouteilles de Veuve Cliquot, une bouteille de champagne et une bouteille de vodka avec sa, quelques paroles échangées, quelques heures passées au Ritz, un mix de coup de foudre et de fric que tout les deux possédait, et le tour était joué. Rien, non rien n’était plus trivial. Un mariage précipité, à travers la gloire et l’argent. Une gamine mise au monde quelques années plus tard, une gamine noyée dans le luxe grâce à ses parents, la drogue qu’elle consommait déjà à l’âge de 10 ans et la vodka pamplemousse qu’elle pouvait se permettre vu son statut, des parents toujours absents à cause de leur travail, des amies superficielles depuis toujours, des copains en veux tu en voilà, bref le quotidien de Élizabeth n’avait rien d’enviable et d’extraordinaire. Et paradoxalement, tout le reste du monde l’envie. Ou plutôt, LES envie.

Mais elle n’a jamais eu vraiment de problème dans les études. Oh non... Elle
n’allait pas en cour. Elle flânait plus tôt dans les corridors. Mais, malgré que la jeune fille n’ait pas plus d’éducation et de moralité, elle réussissait vraiment bien à l’école. Renvoyer plus de 30 fois dans plus de 27 écoles différentes, ses parents était décourager par l’attitude de leur fille vis-à-vis les professeurs et leurs enseignement. Papa maman l’avait envoyé de force à cette école prestigieuse soit elle, cette école de droit, donc, de futur next avocat. Un rêve dont l’homme de famille idolate depuis la nuit des temps. Un avenir déjà tracé... Un avenir que son père arait voulut pour
lui... mais maintenant pour sa fille.

Quartier : Gourmandise. Ce n'est pas tant la gourmandise au sens morderne et actuel. Ce pêcher la plonge dans une quasi-frénésie de l'achat et de la consommation à l'excès. Élizabeth ressent un intense besoin de consommer et acheter toute sorte de chose dont elle n'a pas vraiment besoin, mais que par pulsions, elle finit par désirer sans en trouvé l'utilité. Des dépenses futilles.

Signes particuliers : Elle à la manie de se jouer dans les cheveux et de mordre sa lèvre.

Année : C'est la toute première année qu'elle étudie ici, dans cette université New-Yorkaise.

Hobbies : Son loisir préférer doit être surment les soirées à boire, fêter, se drogué.. Mais en dehors de ses soirées extravagante, elle adore magasiner, dépenser... Une dépensière compulsive, quoi ^^.

Avatar : Kate Beckinsale
Code du règlement : Magique 879

Voila ^^... J'ai finit de faire ma présentation.

Chouette présentation Smile

Bienvenue

Merci :]!

Bienvenue

Merci Deyla =)

Tu sais c'est quand que je pourrai être validé !

*Trop hate xD + impassiente -_-... *

Les admins ont l'air d'être absente
Je ne suis pas admin mais je pense que tu va être validée (vue que ta présentation est parfaite) il te faut juste un avatar...

Bienvenue presentation parfaite mais pas d'avatar donc j'attends pour te valider ensuite merci de ne pas repondre aux présentation tant qu'un admin n'a pas validé et meme si les admins sont en week end